Outil de référence
Le présent document est un outil de référence élaboré par le ministère de l'Éducation, do Loisir et du Sport du Québec sur l'intimidation dans le but de permettre aux milieux scolaires de mieux intervenir lors de situations nouvelles qui peuvent survenir comme la violence sous forme d'intimidation. Il en fait ressortir les caractéristiques et les facteurs explicatifs, les manifestations et les conséquences ainsi que des pistes d'action pertinentes pour améliorer la situation.
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L'institution a-t-elle les moyens d'agir ?
La recherche porte sur l’importance que peut avoir le mode de fonctionnement institutionnel sur le niveau de violence ressentie par les différents acteurs (élèves et professionnels) au sein d’une structure scolaire. 26 collèges publics français du département du Nord ont participé à l’étude. 3 192 élèves et 361 membres du personnel ont ainsi été interrogés. Le croisement de ces données a alors permis de dégager les facteurs susceptibles d’être les plus explicatifs du niveau de violence d’un établissement scolaire. Les résultats montrent que le fonctionnement institutionnel est déterminant dans le repérage de la violence. De plus, ils mettent en évidence un fonctionnement singulier et commun des institutions scolaires interrogées qui est susceptible de les fragiliser dans leur lutte contre la violence.
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Mesures statistiques et analyses des chercheurs
L’école est-elle cet univers ultra-violent que l’on présente parfois ? Si la violence scolaire suscite des débats pleins d’émotion, les mesures statistiques et l’analyse des chercheurs nuancent fortement ces représentations.
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Policiers et parents inquiets
Dans l’histoire de l’Éducation nationale française, c’est du jamais vu. Depuis la semaine dernière, des policiers armés et en uniforme sont affecté en permanence dans une cinquantaine de collèges réputés « particulièrement sensibles ». Ces représentants de l’ordre chargés de la sécurité scolaire sont la réponse de Nicolas Sarkozy aux graves faits de violences qui s’étaient produits au printemps 2009.
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Entretien avec Éric Debarbieux
C'est à partir de très nombreuses enquêtes de terrain, réalisées partout dans le monde, qu'Éric Debarbieux dresse un tableau des violences scolaires et, surtout, des conditions qui les développent ou les font reculer.
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La face cachée de la violence scolaire
Les auteurs, après une enquête auprès de 3 000 élèves, estiment que 10 % d’entre eux sont victimes de bullying. Tous les milieux sociaux sont concernés. La seule différence majeure concerne l’âge (le bullying est plus fréquent au collège qu’au lycée) et le sexe (il y a plus de garçons à la fois parmi les victimes et bourreaux). Les auteurs s’emploient ensuite à démonter la mécanique du harcèlement, qui est un jeu à trois : il met en présence non seulement les harceleurs (qui agissent en groupe) sous l’emprise d’un leader et les victimes, mais aussi les pairs, qui sont des témoins silencieux des actes de harcèlement.
Autour des États généraux sur la sécurité à l'école en France
En effet, l’école connaît actuellement en France une crise de son modèle méritocratique. Les positions sociales des parents se transmettent aux enfants par le biais de l’école alors même que l’institution ne cesse de s’affirmer comme facteur de mobilité sociale. Les élèves en échec dans ce « jeu scolaire » trop souvent perdu d’avance, manifestent alors des comportements de fuite (absentéisme), de désintérêt (décrochage), de découragement, voire parfois de « rage » et de violence.
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Plus de difficulté à réussir
Des chercheurs de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA) ont réalisé cette étude auprès de 2 300 élèves. L’équipe de recherche a pu associer le fait d’avoir été souvent victime d’intimidation à de moins bons résultats scolaires chez les élèves de 11 ans à 13 ans. En fait, la recherche a révélé que les élèves qui sont souvent victimes d’intimidation ont des résultats substantiellement inférieurs à leurs homologues.
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Entretien avec Éric Debarbieux
Transformer un établissement en bunker ne constitue jamais une solution. Arriver à montrer que le problème est un peu plus complexe que ce que l'on veut bien en dire d'habitude et qu'il mérite autre chose que des solutions simplistes est important.
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Harcèlement et brimades entre élèves
Des moqueries, des surnoms déplaisants, des insultes, des menaces, des manœuvres d'isolement, des rumeurs... toutes ces petites actions malveillantes peuvent par leur répétition rendre la vie quotidienne de certains élèves parfaitement insupportable. Cette forme de violence scolaire, que l'on désigne dans les pays anglo-saxons par le terme de school-bullying, reste encore assez méconnue en France.
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Agir efficacement en contexte scolaire
Cette synthèse de recommandations internationales et nationales porte sur les pratiques de promotion et de prévention pour favoriser la réussite éducative, la santé et le bien-être des jeunes en contexte scolaire primaire et secondaire. Onze thématiques y sont traitées : 1- Collaboration école-famille-communauté; 2- Environnements et comportements sécuritaires; 3- Estime de soi; 4- Relations harmonieuses et prévention de la violence; Saines habitudes de vie (5- Alcool, drogues et jeux de hasard et d'argent; 6- Alimentation; 7- Mode de vie physiquement actif; 8- Non-usage du tabac; 9- Sommeil, hygiène et santé buccodentaire); 10- Santé mentale; 11- Sexualité saine et responsable.
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Un dossier de l'Institut nationale de recherche pédagogique
Quand les médias parlent de violence scolaire, ils mettent en avant les actes de violence physique, le plus souvent avec armes, subis par des élèves et enseignants de collège ou de lycée. Or, cette violence laisse dans l'ombre bien d'autres situations difficiles, tout aussi préoccupantes pour les acteurs dans l'École, et qui « usent enseignants et élèves ».
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L’école et son contexte
La violence à l’école, c’est évident, n’est pas un phénomène nouveau. Pour les historiens d’ailleurs c’est même aussi vieux que l’école. On peut s’amuser à reprendre des citations très anciennes. Il y en a une qui m’a toujours plu, c’est celle d’Orbilius, le fouettard qui était le maître du poète latin Horace et qui se plaignait des coups qu’il recevait du fait de la morgue et de la suffisance des parents. C’est pourtant lui qui est l’inventeur officiel de la pédagogie du fouet – c’est la raison pour laquelle on l’appelle le Fouettard – ce qui prouve qu’à la fois les griefs contre les parents ne sont pas nouveaux, mais qu’aussi fouetter les petits enfants ne sert pas à grand-chose.
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Revoir les pratiques d'exclusion
La pratique des exclusions d'élèves des établissements scolaires doit "être entièrement reconsidérée", a prôné lors des états généraux de la sécurité à l'école Alain Bauer, en résumant les 31 propositions faites par une mission dont il avait la responsabilité. M. Bauer, criminologue, président du conseil d'orientation de l'Observatoire national de la délinquance, a été chargé en novembre de diriger une mission sur les sanctions disciplinaires et la place des familles dans le système éducatif.
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Perceptions et analyses
Voici une courte bibliographie sur la violence à l’école établit par l’École supérieure de l’éducation nationale en France.
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L'institution scolaire a-t-elle les moyens d'agir contre la violence ?
Cette recherche porte sur l'importance que peut avoir le mode de fonctionnement institutionnel sur le niveau de violence ressentie par les différents acteurs (élèves et professionnels) au sein d'une structure scolaire.
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La pression du groupe est écrasante
Un élève est pris à partie par d'autres et subit des vexations, des pressions, par téléphone portable notamment, parfois dès l'école primaire. Les adultes ne peuvent que difficilement intercepter ces conversations. L'essentiel est de savoir déceler les premiers symptômes de la dépression. Un professeur doit s'alarmer si un élève rechigne à venir en cours le matin.
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Le cas de l'école maternelle
Pour mettre fin aux incivilités et aux conflits dans la cour de récréation, deux professeurs d'école maternelle construisent patiemment une culture de la médiation et de l'entraide chez leurs jeunes élèves.
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Savoir analyser pour agir
La violence dans l’espace scolaire choque beaucoup, sans qu’on parvienne à la bannir des cours de récréation, des couloirs et des salles de cours. Si elle a le plus souvent son origine dans des situations extérieures à l’école, les réactions des adultes, les dispositifs scolaires en général peuvent l’aggraver ou au contraire aider à la circonscrire.
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